Au delà du Far (West)

Peut-être aurais-je du attendre qu’il soit une heure du matin… M. Ward m’empêche de dormir(de une heure à quatre heure au moins).

Dimanche nous sommes allés nous promener, dans la neige.

Nous marchions mains dans la main du chemin… J’ai tiré quelques branches, de nouveaux flocons déjà tombés se sont abattus lâchement dans les interstices de ta tenue de lutin. Le corps agacé, frigorifié tu voulais revenir sur tes pas. Je n’ai pas voulu.

Nous avons continué, passé poney (blanchâtre, Shetland) et chevaux, puis c’est le quatre-quatre Lada du cavalier qui nous a passé. Chemins de neige au silence que j’aime tant.

Nous marchions à présent sur un plateau rigoureux. J’entendais le vent qui soufflerait dans la tourmente que, nous, nous ne traversions pas. J’imaginais le feu de piquets volés d’un tas qu’on avait oublié ou pas eu le temps de planter, nous permettant ainsi de lutter contre un froid acéré.

On ne rebrousse pas chemin quand on croise dans la neige, on décide d’un temps, d’un moment qui prend son sens dans la fonte des neiges, le détachement de l’iceberg, on détourne sa trajectoire pour courir à plein régime, de toutes nos forces dans un champ comme une clairière gigantesque, où l’on roule de petites boules de neige en haltères de plein air.

On lève les pieds bien hauts, je jette un dernier regard dans ce champ qui n’était qu’à toi et qui reste en moi marqué par nos pas et par ce rideau d’arbres. Le chemin concave, sous la neige une voie romaine, nous glissons surement, jusqu’à la boue qui nous accueille.

La neige nous imprègne.

Great Music for you selected listeners… Le tout chez Vampisoul…

Bon, bon… Sensacional Soul…

Je suis chez le bourgeois le plus bourgeois de Clermont…

Il ne boit que du pepsi et jamais d’alcool.

Nous ne nous aimons pas.

Il ne m’aime pas.

C’est un hypocrite, moi aussi.

Il a des poignets d’amour(s), très pratique pour le déplacer…

André de Segarra le playboy fermier de ces dames, moi je suis juste un dandy…

Le titre du blog : un roman à lire To the Lighthouse de Virginia Woolfe. Rien n’est définitif

Ma fascination pour la mer et dans une certaine mesure pour les maisons de lumières, les gâteaux au pruneaux, le beurre salé, et l’horizon à perte de vue. Peut-être aussi la proue d’un bateau, autant que sa poupe, que sa croupe mais pas de ses coupes. Vous savez la suite : l’étrave qui file comme un fil à beurre dans une masse mouvante, ou l’on fend les bancs de méduses, on éperonne les conteneurs et ou l’on finit par se faire fendre par les portes conteneurs… (Premier points de suspensions : il n’en manqueras pas dans ce blog).

Le titre du blog : un roman à lire To the Lighthouse de Virginia Woolfe. Rien n’est définitif

Ma fascination pour la mer et dans une certaine mesure pour les maisons de lumières, les gâteaux au pruneaux, le beurre salé, et l’horizon à perte de vue. Peut-être aussi la proue d’un bateau, autant que sa poupe, que sa croupe mais pas de ses coupes. Vous savez la suite : l’étrave qui file comme un fil à beurre dans une masse mouvante, ou l’on fend les bancs de méduses, on éperonne les conteneurs et ou l’on finit par se faire fendre par les portes conteneurs… (Premier points de suspensions : il n’en manqueras pas dans ce blog).