Une pensée délicatement métallique pour Vincent qui peut-être un jour trempera ses clichés dans un bain d’hyposulfite, clichés qu’il laissera ensuite “séjourner” dans le bain de fixage jusqu’à ce que la couche opaline de bromure d’argent ait complètement disparu. (c’est l’alchimie poétique du tirage photographique qui est ici révélé, non?)
Livre glaner aujourd’hui même, accompagné d’un LP de Fela Anikulpo Kuti titré Black President…
Quelques mots entendu sur Noureev (Nouriev, Noureiev), une émission lui était consacré : enfant danseur, capricieux, malade à la fin de sa vie atteint du cancer des gays (terme des années 80…). Il n’a jamais été rien de tout cela, mais apesanteur et recroquevillement, pesanteur et déploiement.